Posté le 17.10.2024
BIO EXPRESS : Une enfance passée en Tunisie, des études d’infirmière menées à Nancy, un BTS en communication puis une reconversion dans le milieu culturel à Lyon. A seulement 23 ans, Nina Delaunay, est une globe-trotteuse au parcours atypique. Etudiante à l’école ICART du Management Culturel & Marché de l'Art à Lyon, la jeune femme a toujours été passionnée par le cinéma et la photographie : « dans ma famille, nous avions une tradition : on organisait chaque semaine une soirée DVD ». Pas étonnant donc de retrouver cette fan de Tarantino au festival Lumière. Après avoir découvert l’événement en tant que spectatrice, Nina Delaunay a décidé de sauter le pas cette année en rejoignant l’équipe des bénévoles. Un sens de l’engagement qui est ancrée depuis toujours chez cette jeune Angevine : dès le lycée, Nina Delaunay contribue à des missions au sein de l’UNESCO. Lors de ses études d’infirmière, elle participe à des actions favorisant l’accès aux soins au Bénin menées par l’association « Amis'D Gens ».
MES CINÉASTES PRÉFÉRÉS : Sans hésiter, Tim Burton ! C’est un réalisateur unique, ses films sont reconnaissables entre tous : j’adore son humour noir. J’aime aussi beaucoup l’œuvre de Tarantino : c’est toujours autant impressionnant que déroutant ce qu’il arrive à faire !
LA SALLE OÙ J’AI DÉCOUVERT LE CINÉMA : Le cinéma Alhambra Zéphyr à la Marsa, en Tunisie où j’ai grandi. Je devais avoir dix ou douze ans et mon premier film était Tomboy de Céline Sciamma, cela m’a beaucoup marqué !
MON FILM DE CHEVET : Tu ne tueras point, réalisé par Mel Gibson avec l’un de mes acteurs préférés : Andrew Garfield. Je l’adore et il est vraiment impressionnant dans ce film.
MON GOÛT DU BÉNÉVOLAT : J’aime avant tout me rendre utile et j’apprécie le contact avec les gens. Être bénévole ici, c’est aussi l’opportunité de découvrir les coulisses du festival et une bonne occasion de rencontrer des professionnels du milieu culturel.
MES MISSIONS AU FESTIVAL : L’accueil du public au Hangar de l’Institut Lumière, la surveillance des dortoirs à la Halle Tony-Garnier et la préparation du petit-déjeuner pour la Nuit « Voyage au bout de l’horreur ».
Propos recueillis par Laura Lépine
© Laura Lépine