Posté le 18.10.2024
BIO EXPRESS : Elle sera l’une des bénévoles à chouchouter les festivaliers avec un bon petit-déjeuner lors de la Nuit « Voyage au bout de l’horreur ». Pour sa deuxième année au sein de l’équipe des bénévoles, Jacqueline Pagés a convaincu sa fille Marie de la rejoindre. Bénévole au « Quais du Polar » et au festival de street art « Peinture Fraîche », elle sera aussi engagée auprès de la mairie de Lentilly pour offrir de son temps : aide administrative, lecture, accompagnement de la personne. Une façon pour cette Drômoise de défendre des valeurs comme « la solidarité et le respect » qui lui sont chères. Des principes que cette ancienne pharmacienne-biologiste aux Hospices civils de Lyon (HCL) a toujours mis en application au quotidien. Jeune retraitée, Jacqueline Pagés a troqué sa blouse blanche contre son costume rouge de bénévole. Pour son plus grand plaisir… et pour celui des festivaliers qui auront la chance de la croiser.
MES CINÉASTES PRÉFÉRÉS : Ken Loach : j’aime son cinéma social, engagé. Ils proposent toujours des œuvres qui interrogent, avec des thèmes qui sont au centre de nos vies. J’adore aussi les films de Jacques Audiard et de Stéphane Brizé.
LA SALLE OÙ J’AI DÉCOUVERT LE CINÉMA : C’était le « Ciné Foyer » à Portes-lès-Valence : je devais avoir dix ans, c’était la projection de La Guerre des boutons.
MON FILM DE CHEVET : Sans hésiter Vol au-dessus d'un nid de coucou de Milos Forman que j’ai vu au Comoedia. Jack Nicholson est tellement poignant, c’est la première fois que je suis sortie d’un cinéma en larmes !
MON GOÛT DU BÉNÉVOLAT : Depuis ma retraite, j’ai plus de temps pour me consacrer au bénévolat et cela est très important car cela représente certaines valeurs qui me sont chères, comme la solidarité et le respect.
MES MISSIONS AU FESTIVAL : Accueil du public lors de la cérémonie d’ouverture et de la remise de Prix. Référente de salle de cinéma, préparation du petit-déjeuner lors de la Nuit « Voyage au bout de l’horreur » à la Halle Tony-Garnier.
Propos recueillis par Laura Lépine
© Laura Lépine